Après l’adresse à la nation du 16 août du chef de l’état, la direction générale de la concurrence et de la Consommation réaffirme son engagement et la nécessiter de poursuivre la lutte contre la vie chère bien sûr au terme des conclusions de la commission nationale des prix à Libreville.
Ça se passe à Libreville, Oyem, Franceville ou portgentil, pas une ville de notre pays où le prix de la baguette de pain, du kilo de poulet, du litre d’huile ne soit vu à la hausse.
Lors de son discours à la nation, le chef de l’État son excellence Ali Bongo Ondimba est particulièrement revenu sur le panier de la ménagère qui se vide au fil du temps dû à la pandémie de la covid-19 jumelée à l’opération militaire spéciale en urkraine.
Soucieux de l’amélioration des conditions de vie des populations, les plus hautes autorités en tête desquels le chef de l’Etat a injecté plus de 80 milliards de FCFA dans le cadre de la péréquation en vue de stabiliser le panier de la ménagère notamment en terme de produits de première nécessité, de carburant et bien d’autres.
En effet, ce discours d’une forte importance n’est pas tombé dans les oreilles des sourds plusqu’hier le chef de service provincial de la direction générale de la concurrence et de la consommation (DGCC) Florent Ndong Moure a, depuis lors, redoublé d’efforts pour endiguer la flambée des prix dans la province marigoveenne.
La décision du président de la république de maintenir les coûts des denrées de premières nécessité, tels que le riz, le pain, la bouteille de gaz pour ne citer que cela, est une mission que Florent Ndong Moure s’attelle à remplir dans la province abritant la capitale économique du pays.
Contrairement à certains individus verreux et malintentionnés qui n’en veulent qu’à la tête du directeur général de la DGCC en trainant sa réputation à la boue. Le chef de service provincial de la DGCC, sous l’impulsion de sa hiérarchie, n’est animé que par l’envie et la motivation de matérialiser la politique prônée par Ali Bongo et son gouvernement qui est de mettre en œuvre une stratégie claire visant à rétablir une mercuriale normale des prix sur le marché gabonais en général et sur le marché du G8 en particulier.
Ainsi, le responsable de service de la DGCC dans l’Ogooué Maritime ne rechigne pas à la tâche pour rendre factuel la politique du chef de l’Etat en terme de normalisation des prix.
L’on sait que la rigueur n’a que rarement le bénéfice de la popularité et moins encore le souci de transparence et du travail bien fait. Plutôt que la haine envers sa personne et les grincements de dents qu’il provoque, il est plus intéressant de le suivre dans son travail et les bons résultats qu’il affiche depuis son arrivée à portgentil.
Jean 1er
