Ce mardi 16 septembre, à la veille du lancement officiel de la campagne électorale, Jean Marie Ogandaga, député sortant et candidat du Parti Démocratique Gabonais (PDG), a organisé une rencontre citoyenne dans le quartier La Balise, 1er arrondissement de la commune d’Akanda. Un moment d’échange franc avec les habitants, placé sous le signe de l’écoute, de la proximité et de l’engagement.
Avant de se rendre sur le lieu de la rencontre, le candidat a marqué deux arrêts hautement symboliques. D’abord chez la cheffe du quartier Bagada, puis chez celle de La Balise. Comme à son habitude, il ne s’est pas présenté les mains vides, apportant des présents en signe de respect envers la tradition et les autorités locales.
Les mamans, fidèles aux valeurs ancestrales, l’ont accueilli chaleureusement et l’ont béni. Elles ont salué son profond respect pour les aînés ainsi que ses nombreuses actions sociales en faveur des populations du Cap Estérias, aides aux familles en difficulté, appui aux infrastructures de proximité, entre autres.
La rencontre a été ouverte par le notable Jean Louis, suivi d’Alfred Yeyet, de retour après six ans d’exil politique. Ce dernier a salué les réalisations du député sortant et lui a exprimé son soutien indéfectible, le qualifiant d’homme d’action et de pragmatisme. « On peut débattre, mais on ne peut pas nier ce qui est visible. Les faits parlent d’eux-mêmes. »
Surnommé affectueusement « le Djadji », Jean Marie Ogandaga est ici chez lui. Devant une foule, il a officiellement annoncé sa candidature à sa propre succession.
Serein, Jean Marie Ogandaga est revenu sur les principaux chantiers réalisés sous son mandat et ceux à venir, écoles, dispensaire de proximité, amélioration de l’accès à l’eau et à l’électricité, réhabilitation des routes, etc.
Il a insisté sur son ancrage local et sa volonté de rassembler « Je suis un fils du Cap. Je suis là pour vous servir tous, sans distinction. »
Les échanges ont été dynamiques. Questions directes, réponses claires. Une ambiance de dialogue sincère, loin des discours convenus.
À La Balise, bien avant l’ouverture officielle de la campagne, le Djadji a réaffirmé sa proximité avec les populations et la force du lien qui les unit. Il a aussi répondu, sans les nommer, à ceux qui aujourd’hui le critiquent après avoir bénéficié de son soutien « Je suis fidèle à mes valeurs. Je ne cède pas aux sirènes de la division ni aux ragots de bas étage. »
Il est temps que les faux discours et les fausses apparences laissent place à l’essentiel. Une bonne fois pour toutes, Jean Marie Ogandaga remettra les choses à leur place. Cela fait longtemps qu’il essuie la haine, qu’il encaisse les coups, trahi par les uns, insulté par les autres. De ces collaborateurs d’hier, désormais relégués au passé, les populations régleront le compte.
Le Djadji a d’autres priorités. Ce sont les faits qui parlent. Ce jour-là, la chaleur de l’accueil était palpable et ce n’était pas un hasard. Ces sourires ne s’achètent pas. Ils se méritent.
N. M