Au Cap Estérias, ce 25 septembre 2025, la nuit est tombée sur le quartier Balise, mais la lumière demeure. Des torches indigènes, offertes à Jean Marie Ogandaga et à son équipe, percent l’obscurité. Symboles de guidance selon la tradition, elles portent un message évident, le chemin est tracé pour une victoire cache..
Plus tôt, la délégation du Parti Démocratique Gabonais (PDG) s’était rendue au Premier Campement, où elle avait été accueillie chaleureusement, dans une ambiance dense et empreinte d’une vive ferveur partisane.
Danses tradi-modernes, chants rythmés, bénédictions rituelles… Chaque geste témoigne d’un lien vivant entre le candidat et sa communauté. Jean Marie Ogandaga ne mène pas une campagne classique. Il revient sur les terres de son enfance, entouré de familles, de jeunes, d’aînés. L’atmosphère est simple, humaine, sans artifice.
Partout, il écoute avant de parler. Quand il prend la parole, c’est sans emphase ni promesses vaines “ Je ne suis pas là pour faire des promesses. Je suis là pour du concret et continuer un travail engagé .” Une posture rare à une époque marquée par la surenchère.
Le Premier Campement en journée, Balise dans la nuit, deux causeries, deux moments forts. La mobilisation impressionne. Hommes, femmes, jeunes, anciens, tous rassemblés sans contrainte, animés par une même concroissant
Ces étapes marquent un tournant, non par leur mise en scène, mais par ce qu’elles révèlent, un enthousiasme populaire sincère et croissant.
À la Balise, la nuit n’a rien éteint. Les torches traditionnelles, remises à Jean Marie Ogandaga, symbolisent bien plus qu’un éclairage, elles incarnent une bénédiction, une orientation, une légitimité reconnue.
Autour, la fête bat son plein. Les danses et les chants s’enchaînent. Les aînés prodiguent leurs conseils. Les jeunes rythment leur soutien. L’atmosphère est à la fois festive et solennelle. Un peuple qui célèbre un homme resté proche.
Pas de discours écrits à l’avance. Pas de promesses électoralistes. Jean Marie Ogandaga parle peu, mais parle vrai. Il privilégie l’échange, sans détour. Une pédagogie politique qui trouve un véritable écho. » Avec le Djadji, c’est du sérieux, du concret. Du réel »
Ces rencontres n’ont pas seulement rempli les lieux, elles ont renforcé les convictions. Aucune manipulation. Aucune foule achetée. Juste la force tranquille d’un attachement mutuel.
À moins de deux jours du vote, Jean Marie Ogandaga ne déroge pas à sa ligne. Calme, clarté, constance.
Dans cet arrondissement, il est resté présent. Dans un contexte agité, il a choisi la proximité. Là où d’autres promettent, lui propose le concret, la continuité d’un engagement.
Ici les torches ont été allumées. Les consciences aussi. Le 27 septembre, la parole reviendra au peuple. Mais à Akanda, elle s’est déjà exprimée. » Nous c’est le Djadji « .
N. M