Pendant que certains peaufinent leurs affiches et slogans électoraux, Armand Dagraça Tchitembo (ADT) choisit une autre voie. Celle de l’écoute et de l’action directe. Alerté la veille par les habitants de la Cité Alhambra, un quartier niché derrière la caserne des sapeurs-pompiers d’Angondjé, il n’a pas attendu un micro ou une caméra pour réagir.
Le lendemain matin, le 13 septembre 2025, ADT est là, discret, mais les bras pleins. Sacs, cahiers, stylos, règles, trousses, plus de cent kits scolaires remis à des enfants dont la rentrée scolaire était compromise. « Il ne nous a pas oubliés« , souffle une mère de famille, les yeux humides, pendant que son fils serre fièrement son nouveau sac contre lui.
Pas de discours flamboyant. Pas de caravane électorale. Juste un homme face à une urgence. Et un message sobre mais fort « L’école ne peut pas attendre. »
Le geste est salué par les parents et leaders communautaires. « Il a agi sans nous juger, sans attendre d’applaudissements« , confie un habitant. ADT a également profité de sa visite pour écouter les doléances des familles, promettant de rester attentif aux besoins urgents, dans la limite de ses moyens. Un langage rare, où la lucidité prend le pas sur la démagogie.
Connu pour ses actions sociales menées en silence, Armand Dagraça Tchitembo ne débarque pas de nulle part. Proche des populations, discret mais efficace, il incarne une nouvelle génération d’acteurs politiques soucieux de résultats plus que d’effets d’annonce.
Et quand il prend finalement la parole, c’est pour rappeler que « les vendeurs d’illusions » n’ont plus leur place. « Ceux qui ont géré jusqu’ici ont des comptes à nous rendre. »
Un ton direct, un regard franc, mais surtout une vision claire du rôle du député. Pas un distributeur automatique de promesses, mais un intermédiaire responsable, constant et engagé. Pas de miracle donc, mais un défenseur des projets pour le bien être de ses concitoyens.
À la Cité Alhambra, le message d’ADT ne s’est pas seulement entendu, il s’est ressenti. Dans les bras d’un enfant portant un sac neuf. Dans le regard soulagé d’une mère. Et dans le silence d’une foule qui, pour une fois, n’avait pas à applaudir un discours, mais un acte.
À quelques jours du début officiel de la campagne, Armand Dagraça Tchitembo pose déjà ses jalons, ceux d’une politique qui agit avant de parler.
Clemy