CAFI: le directeur de Cabinet du ministre des Eaux et des Forêts Ludovic Ngok, a lancé les travaux!

Le directeur de Cabinet du ministre des Eaux, des Forêts, de la Mer, de l’Environnement, chargé du plan climat et du plan d’affectation des terres, Dr. Ludovic Ngok, représentant le Prof. Lee White, a lancé les travaux de la revue à mi-parcours du programme de l’Initiative pour la forêt de l’Afrique centrale (CAFI), hier le 6 novembre.

Participent à cette revue qui se tient sur deux jours au siège du Conseil national climat : les représentants des ministères de l’Économie et de l’Agriculture, de l’Agence nationale des parcs nationaux (ANPN) et de l’Agence gabonaise d’études et d’observations spatiales (AGEOS), du ministère du Climat et de l’Environnement de la Norvège, de l’Ambassade royale de Norvège à Kinshasa et du secrétariat de CAFI.

Le Gabon, qui est engagé dans un processus de préservation et de gestion durable de ses forêts, a signé en 2017, une lettre d’intention avec CAFI d’un montant de dix-huit millions quatre cents mille dollars pour la mise en œuvre du Plan national d’affectation des terres, du Système national d’observation des ressources naturelles et des forêts (SNORNF) et de la lutte contre l’exploitation illégale.

Les questions inscrites à l’ordre du jour de cette rencontre portaient essentiellement sur la mise en œuvre des jalons de ladite lettre d’intention, les programmes financés par CAFI I, la préparation du nouveau cycle de financement dans le cadre de CAFI II (12 millions de dollars) et CAFI III (150 millions de dollars).

Pour rappel, CAFI est un partenariat qui rassemble différents pays d’Afrique centrale (le Gabon, la République centrafricaine (RCA), la République démocratique du Congo (RDC), le Cameroun, le Congo et la Guinée équatoriale) et des donateurs (l’Allemagne, la France, la Norvège, le Royaume-Uni, l’Union européenne et le Brésil). L’objectif de ce partenariat étant de préserver les forêts d’Afrique centrale afin de lutter contre les changements climatiques et contribuer au développement durable.

 

La rédaction/ Source DIG

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