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DCPR à Akanda: un accueil à la hauteur de sa personnalité !

Les Akandais ne font pas dans la moitié. La rigueur des actes, le sens du devoir bien fait. Cette visite du DCPR dans la commune d’Akanda a été une réussite …parfaite.

Ce sont ces places noires de monde et ce  dialogue sans faux semblants qui disent la vérité sur les sentiments des populations. Et cet enthousiasme qui se lit sur les visages. Les Akandais sont fières et fidèles au chef de l’État.

 

Dans cette ville arc an ciel, ville pilote moderne doté d’un véritable schéma urbain de 37000 habitants, ou se côtoient les Benga, Sekianie, Kotha , Fang , Nzebi,  Téke, Punu etc dans   27 quartier et  2 arrondissements sur une superficie de 45530 hectares où il y règne une véritable symbiose entre fils et filles de cette commune, véritable symbole du vivre ensemble.

Ils étaient des centaines, des milliers peut-être plus, avec ces Ovations et ces applaudissement, qui disent au messager du président de la république, Brice Laccruche Alihanga, le désir de continuer le chemin ensemble avec le chef de l’État, Ali Bongo Ondimba.

Parce que les choses se font maintenant. Et qu’Ali Bongo Ondimba va mieux. Il propose un nouveau contrat. Plus d’intermédiaire entre lui et les populations. En plus, les chantiers renaissent, l’économie reprend ses droits. Demain les femmes seront actives, et les hommes retrouveront leur dignité.

Le 3 Octobre dernier Jean Marie Ogandaga, Grégorie Laccruche et le comité d’organisation non rien laisser paraitre au hasard. Tout y était pour réserver un accueil très chaleureux à Brice Laccruche Alihanga,  digne de celui qui l’a envoyé. Le tout au rythme, des danses tradimodernes, du RNB, du Rap…certainement l’étape symbole de cette tournée du directeur du cabinet du président de la république. Non parce-que ce soit également sa commune de résidence.  Ici même il dira ce simple message « Ali Bongo est là et en forme, Ali Bongo vous propose un nouveau contrat sans intermédiaire juste vous et lui. Ali Bongo Ondimba attend que vous dénoncez tous ceux qui n’accomplissent pas les missions qui leurs sont assignées. Il prendra ses responsabilités »  le message  est cinglant, un tantinet provocateur, mais il touche en plein cœur sa cible.

Trop de bêtise ont été dites autour de la santé du chef de l’État. Participent-elles de l’ignorance ou de la mauvaise foi? Le chef de l’État demeure le capitaine du vaisseau Gabon. C’est donc ailleurs qu’il faut regarder, le développement du pays et la réalité pour soulager les populations qui s’épuisent avec les difficultés quotidiennes.
Jean 1er

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