À la tête du Syndicat des Agents de la CNAMGS, Joseph Gaétan NKOGHE s’est imposé comme un président déterminé. En quelques années, il a réveillé une structure longtemps endormie, rassemblé ses membres et replacé la défense des travailleurs au centre des priorités.
À son arrivée, le syndicat souffrait de faible mobilisation et de résultats limités. « Le syndicat tournait au ralenti », confie-t-il. NKOGHE comprend rapidement qu’un leadership clair et constant est indispensable pour inverser la tendance. Il relance les réunions, engage un dialogue ferme avec la direction générale et réaffirme les revendications essentielles. Statut particulier, droits renforcés, meilleures conditions de travail.
Proche des agents, il fonde son action sur la solidarité. « Ils me rendent plus fort », affirme-t-il. Cette relation de confiance devient le socle de son mandat, lui permettant de naviguer dans un environnement parfois difficile.
Sous sa présidence, le syndicat retrouve du poids et de la visibilité. Il obtient une reconnaissance institutionnelle accrue et amorce un cadre juridique structurant, redonnant confiance à des agents longtemps relégués au second plan.
Pour NKOGHE, le travail continue. Les défis sont nombreux, mais il reste fidèle à sa ligne, maintenir la cohésion et construire un syndicat solide. « Nous récoltons peu à peu ce que nous avons semé », rappelle-t-il, soulignant que la détermination collective finit toujours par porter ses fruits.
Plus qu’un dirigeant, Joseph Gaétan NKOGHE symbolise la renaissance syndicale de la CNAMGS. Grâce à lui, le syndicat a retrouvé sa voix et sa force.
Clemy
