karim Nziengui bel et bien 4eme adjoint au maire chargé des marchés!

La rigueur n’a que rarement le bénéfice de la popularité et encore moins la bienveillance  médiatique. La tenue stricte des marchés, la réorganisation des occupations anarchique des trottoirs, la lutte contre les garage anarchique et de l’occupation illégale du domaine communal se font pas souvent sans pour provoquer des grincements de dents.
Voilà donc plusieurs semaines qu’une prétendue information circule dans les réseaux sociaux puis relayé par certains médias qui mettrait en cause la probité morale du  maire des marchés, Edouard Nziengui Nziengui appelé communément Karim Nziengui dans une affaire de détournement de fonds d’une valeur de 100. Millions de FCFA, fruit semble t-il de la collecte de l’opération d’identification des commerçants.
La dernière gourde prétend que le 4eme adjoint au maire, chargé des marchés serait démis de ses fonctions qui , elles seraient assumées par l’inspecteur général municipal,  Dagraca Armand,  personnalité loin des projecteurs qui tient une politique à ne négliger aucun projet de société du quinquennat du maire de Libreville, pour le grand bien des populations et des partenaires économiques. Et certains d’entre eux sont en bonne voie. Libreville doit changer d’image en prenant compte de tous ses habitants.
Donc le maire de Libreville pour un souci de transparence a tenu à éclairer l’opinion sur ces allégations qui depuis un temps sont sur toutes, les lèvres et dans les réseaux sociaux. Sa note est claire et sans équivoque  » En ma qualité de Maire de la Commune de Libreville, je m’inscris en faux dans ces allégations dont le but n’est rien d’autre que de distraire l’opinion publique. Je puis vous assurer que jusqu’à ce jour, aucun détournement n’a été enregistré à la Mairie de Libreville depuis ma prise de fonction officielle, le 11 Mars 2019  »   Une note qui vient mettre un terme à toutes les supputations et lever ces allégations mensongères contre le maire chargé des marchés.
Toute fois, il est à admettre que depuis un certains temps notre presse censé informer, éduquer s’est illustrée par des dérapages caractérisés. Accusations sans fondements, aucun élément  de preuve pour corroborer les dénonciations portées ainsi qu’une propension croissante à la vindicte populaire de certains citoyens et à la publication des articles diffamatoires à l’encontre des représentants de l’autorité de l’État. Le journaliste est libre de s’exprimer certes, mais dans le strict respect des propos et des faits.
Édouard Dure

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