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Libre propos d’ Edgard Anicet MBOUMBOU MIYAKOU/ Vaccin contre le Covid-19: l’espoir de reprendre rapidement une vie normale !

Le temps est ainsi fait que le quotidien fait oublier la chose la plus précieuse au monde qu’est la vie. Et les mesures restrictives édictées par le gouvernement, le vaccin sont en ce sens, que pour la préserver, la protéger. Mais aujourd’hui plusqu’hier ce qui importe les populations c’est de reprendre le cour normal de leurs habitudes. Justement Grâce à la vaccination cette volonté est à portée de tous.

Nécessaire, non payante et ni obligatoire, la vaccination qui a débuté ce mardi 23 mars 2021 constitue un espoir important en l’absence de traitement contre le coronavirus. Les populations dans le monde l’attendaient depuis longtemps. Malgré quelques foyers de résistances, de complotistes et de détracteurs.

Ici c’est un futur réel porté vers la normale qui est présenté. Se faire vacciner sera un vrai soubassement pour ce retour rapide à notre quotidien.

Sinopharm d’abord, Spoutnik V par la suite, ces vaccins vont assurer une immunité globale suffisante pour arrêter la transmission du coronavirus. En ce que Chacun affiche des taux d’efficacité prometteurs oscillant entre 84 % et 95 %.

D’autres pays à travers le monde ont eu recours au vaccin Sinopharm, en vue d’endiguer cette pandémie sur leurs sols.

Il s’agit de la Chine elle-même, de l’Argentine, du Pérou, des Emirats Arabes Unis, de la Hongrie, de le Serbie, de la Jordanie, du Sénégal, du Maroc, de l’Égypte, de la Guinée-Equatoriale, le Niger, le Zimbabwe, le Congo Brazzaville, la Namibie, le Djibouti, l’Afrique du Sud, le Kenya, l’Ethiopie et la Guinée Conakry, qui ont fait confiance à ce vaccin. Et le Chef de l’État, son excellence Ali Bongo Ondimba personnellement a donné le top en se faisant vacciner, preuve éloquente de la fiabilité de ce vaccin.

Pas question donc d’attendre que suffisamment de personnes soient immunisées ou meurt, pour que le virus ne circule plus. La stratégie dite de l’immunité collective (soutenue par quelques uns) ne peut, elle être appliquée en toute sécurité qu’en vaccinant les 2/3 de la population.

Cette certitude aura permis au gouvernement de réfléchir à une campagne de vaccinations pertinente en déterminant qui il faut vacciner en priorité et à quel rythme. L’espoir étant de revenir très rapidement à une « vie normale »

A toute fin utile, les deux vaccins qui ont la préférence du gouvernement sont des vaccins ordinaires qui n’ont pas besoin de conditions de conservation particulières. Ils se conservent à basse température au frigo et sont fabriqués selon le procédé du virus inactivé et affaibli qui est ensuite injecté pour déclencher la reponse immunitaire de l’organisme face au virus. Le vaccin de  » Pasteur  » en un symbole.

Cependant une interrogation s’impose. Comment se plaindre des restrictions qui sont imposées en raison de la pandémie et s’opposer en même temps à la vaccination. C’est à dire ne pas vouloir se prémunir contre cette maladie et souhaiter en même temps revenir à une vie normale très vite ?

Ce questionnement mérite que chacun l’évalue en tout âme et conscience.

D’où ce rappel à la nécessité, outre de respecter les gestes barrières, mais surtout de se faire vacciner. Ainsi  » je lance un appel à l’ensemble de la population à unir ses forces pour vaincre définitivement cette terrible pandémie en se faisant vacciner massivement « …ce n’est ni une question de partis politiques, d’ethnies ou de religions. C’est un problème de santé publique, de protection des populations. Et le gouvernement entend veiller sur sa population.

Edgard Anicet MBOUMBOU MIYAKOU
Ministre d’état, ministre de la communication et de l’économie numérique

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