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Louis Gaston Mayila jette un pavé dans le savoir faire des gouvernants!

Il n’est pas énervé. Il est simplement  » consterné  » par la non qualité du débat politique. Par la qualité de l’éducation, la crise sociale qui prend de l’ampleur. Et pour taire ces maux , il appelle à la réconciliation nationale. Gage selon lui du développement du pays.

Louis Gaston Mayila a condamné ce qu’il a appelé  la pseudo école que les enseignants et les apprenants pratiquent aujourd’hui  « l’honnêteté intellectuel commande de prendre la parole sur les faits qu’on connaît bien. A mon humble avis , rien n’est brillant aujourd’hui. Nous assistons à la persistance de cette crise qui ne trouve pas de solution. Le pays est à cet image. Nous à notre temps nous travaillions sur la méritocratie. Chaque année les élèves rivalisaient d’ardeur de sérieux de travail pour être distingue en présence du chef de l’État en recevant un prix. J’ai appris avec Mamadou et Benita. J’ai amené piga et Bika. Pour ramener chez nous les noms, les valeurs pour les consonances qui font que l’enfant Évolue dans le milieu qu’il connaît.

J’ai animé les états généraux de l’éducation. J’ai introduit nos langues nationales et la maternelle. Je ne sais pas depuis combien d’années on a pas construit une salle de classe. Comment les enfants vont ils apprendre s’ils ne sont pas dans des bonnes conditions. J’ai commis le péché d’Israël d’avoir signé un partenariat avec la France ou les enfants français au Gabon soient scolarisé avec les enfants gabonais et ils nous emmenait des professeurs. A cette époque, le bac était corrigé à Nantes….je n’ai jamais mis un gabonais à la tête de l’Office du bac pour éviter les fuites que l’on constate aujourd’hui. Il nous faut revoir le tableau sur la connaissance, la culture de la recherche, de l’émancipation de l’homme, à restaurer les valeurs qui ont été spoliés par l’époque coloniale  »

Il a dénoncé ces idées toutes faites qui ont explosé la crise.  Le refus de se fier aux conseils des anciens, l’idée de la naissance d’une génération spontané omniscient. « Comment pourrions nous transmettre à ces personnes qui pensent être d’une génération spontanée. Nous avons notre part de responsabilité mais on ne peut enseigné ce qui veulent apprendre.Je pense qu’on devrait remettre les choses à l’endroit. Accepté que nous nous sommes trompé pour changer de cap. Toutes nos institutions sont entrain de régresser. Au profit de l’intérêt personnel Appauvrir l’État pour que les individus deviennent riches, un état riche fait des citoyens riches , un pays pauvre fait des citoyens pauvres.

S’agissant de l’école, et de la réformez de bourse par exemple, on ne commence pas à construire par le toit. Il faut d’abord un soubassement. Des fondation…. Il faut suffisamment d’écoles, des professeurs formés, rendre l’environnement scolaire attractif, formation à initiaux le plus tôt possible. On a un état qui a suffisamment de ressources « .

Il a fustigé cette orthodoxie dans la gestion des affaires publiques  qui s’applique selon lui avec une vigueur renouvelée au sein des administrations,  mais qui devait être au contraire inspiré par les plans de rigueur, comme cela était à l’origine, à l’époque des anciens. « Comment pourrions nous transmettre à ces personnes qui pensent être d’une génération spontanée. Nous avons notre part de responsabilité mais on ne peut enseigné ce qui veulent apprendre.Je pense qu’on devrait remettre les choses à l’endroit. Accepté que nous nous sommes trompé pour changer de cap. Toutes nos institutions sont entrain de régresser. Au profit de l’intérêt personnel Appauvrir l’État pour que les individus deviennent riches, un état riche fait des citoyens riches , un pays pauvre fait des citoyens pauvres.

S’agissant de l’école, et de la réformez de bourse par exemple, on ne commence pas à construire par le toit. Il faut d’abord un soubassement. Des fondation…. Il faut suffisamment d’écoles, des professeurs formés, rendre l’environnement scolaire attractif, formation à initiaux le plus tôt possible. On a un état qui a suffisamment de ressources « .

Pour sortir de cette situation, Louis Gaston Mayila appelle à nouveau à  ‘ la réconciliation nationale‘  qui selon lui ne saurait constituer une proposition alternative, ainsi qu’il l’affirme très précautionneusement du fait de sa portée, tant social, économique que politique. « Mon objectif c’est que le pouvoir change de nature pas comme pour certains qui veulent que le pouvoir change de main et garde la même nature. D’où mon appelle à la réconciliation nationales. Nous remettre en cause ensemble pour qu’ensemble nous tournons la page sans langue de bois. Que l’on cesse d’avoir peur des uns et les autres . Féconder les nouvelles connaissance des jeunes avec l’expérience des vieux. Il faut associer tout le monde.Concrètement, la réconciliation nationales peut se faire sous la forme d’un grand forum. Reconnaître s’il y’a eu des morts, examiner les problèmes des exilés et des prisonniers politique, initié une journée de pardon, revisiter la loi fondamentale et toutes les lois sociales. Puis rédiger une loi référendaire qui pourra après le vote créer une nouvelle force de proposition et un nouveau levier. En une semaine avec avis de chaque cadre de province « .

Et pour terminé il a posé cette interrogation.  » Et maintenant monsieur le président ? Et maintenant monsieur les gouvernants? Et maintenant le peuple ? Que proposer vous ? Quel est le chemin a emprunter pour donner satisfaction au plus grand nombre « 
c’est donc dire qu’il y’a un défi à relever, un pays à construire. Un besoin de vraies idées, de vrais projets….voilà peut être une pensée qui peut nourrir le débat public d’aujourd’hui. On l’espère…
Edouard Dure

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