Une nouvelle tension secoue le secteur de l’Éducation. Les syndicats d’enseignants ont déposé un préavis de grève, pointant du doigt deux revendications majeures, la régularisation des situations administratives et la nomination des chefs d’établissements. Face à ce climat, Camelia Ntoutoume Leclercq, ministre en charge de l’Éducation nationale reste sereine et engagée.
Madame la Ministre ne découvre pas les difficultés du monde enseignant. Depuis sa prise de fonctions, elle multiplie les concertations, visite les établissements, écoute les enseignants. Sa méthode ? Le dialogue franc, la transparence et l’action.
Elle n’ignore rien des attentes du corps enseignant. Elle les partage même. Car améliorer l’école, c’est aussi améliorer la condition de ceux qui la font vivre au quotidien.
La Ministre agit en parfaite cohérence avec la vision du Chef de l’État. L’objectif est de bâtir une école plus performante, plus équitable, plus adaptée aux défis d’aujourd’hui. Ce chantier exige du temps, de la rigueur, mais surtout de la volonté. Et cette volonté, elle l’incarne pleinement.
Depuis des mois, plusieurs dossiers en suspens ont été réactivés. Des situations administratives bloquées depuis des années ont enfin connu une avancée. Les mécanismes de nomination sont en cours de révision pour plus de transparence et d’efficacité.
Oui, tout n’est pas encore parfait. Oui, des lenteurs existent. Mais faut-il pour autant ignorer les progrès réalisés ? Le secteur éducatif a connu, ces dernieres années, une dynamique nouvelle. Dotations en manuels, recrutements, réhabilitation d’infrastructures, dialogue social renforcé… Le travail est en cours, méthodique, structuré.
La grève est un droit. Mais le dialogue est une force. Aujourd’hui, les élèves ont besoin de stabilité. Les enseignants ont besoin de reconnaissance. Le pays, lui, a besoin d’une école qui avance.
Madame la Ministre tend la main. Elle reste ouverte à la discussion, prête à écouter, à ajuster, à agir. Car au cœur de son action, il y a une conviction forte. L’école ne doit pas être un champ de tensions, mais un espace de construction.
Le préavis est lancé. Mais rien n’est encore figé. Une issue positive reste possible. La balle est dans le camp du dialogue.
Clemy