La simplicité est restée la même. Et le regard aussi. Même vivacité, même sens du devoir accompli. Des qualités dont le chef de l’État, Ali Bongo Ondimba avait conscience quand il le nommait directeur de son cabinet. Un ultime défi à relever pour Brice Laccruche Allianga et cette conviction qu’il fallait donner le meilleur. Aujourd’hui il s’en est bien sorti. Maintenant des attaques de toutes sortes contre lui. Plus récemment la publication des actes de mariage de ses parents. Une atteinte à l’intimité de la vie privé que Fred Bernard Mavoungou, président de l’association Train d’Union condamne avec indignation.
» Train-Dunion s’insurge contre cette manière de faire. Une cabale qui jusqu’à ce jour ne s’arrête pas. Monsieur Brice Laccruche Allianga n’a jamais demandé à être Directeur de Cabinet du président de la république. Qu’a t-il fait pour être victime du vampire politique au point de publier l’acte de mariage de ses parents? Est ce normal quel qu’en soient les raisons de perturber des responsables d’une famille ? » a condamné Fred Bernard Mavoungou qui rappelons le est le précurseur de l’Association des Jeunes Émergents Volontaires (AJEV) sur Port Gentil. Avec comme palmarès la première cérémonie de l’AJEV dans la capitale économique.
Forcément, ça peut agacer certains. Depuis la convalescence du président de la République, Brice Laccruche Allianga suit à la lettre les instructions laissées par lui avec maîtrise et sérénité. le peuple a besoin d’être rassuré. Et le directeur de cabinet du président de la République est au plan administratif, la personne la mieux disposée pour apaiser les populations en l’absence du chef de l’état. D’autant plus qu’il est celui qui étudie, analyse, évalue toute question touchant aux domaines politique, juridique, diplomatique, économique, social et culturel de la vie nationale et pour en faire des propositions au Président.
Il est encore temps de changer. Quelles que soient les convictions, les attaches et les émotions. En ce temps de crise il est important de faire le point sans différence, sans haine; sans règlement de compte. On sait le tort que cette publication pourrait causer à cette famille indique le président de Train d’Union. C’est dans cette qualité d’agissement de bas étages que selon Fred Bernard Mavoungou se mesure la maturité des uns et des autres.
C’est dire que malgré les différentes interpellations sur la mauvaise utilisation des réseaux sociaux, aucune oreille ne semble attentive. À terme, cette utilisation des réseaux sociaux exposent les populations à une aliénation intellectuelle, à la perte de valeurs du respect d’autrui, de la famille, de la vie privée qui fondent nos sociétés. Une problématique devenue plus inquiétante encore au Gabon. D’autant plus que la population de masse semble l’ignorer.
Que l’usage à l’internet soit libre, mais que les pouvoirs publics conduisent aussi une politique de lutte contre l’atteinte à la vie privée. Une prise de conscience de tous est donc nécessaire, ce qu’on espère qu »elle le sera dans les faits…
La rédaction