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Panalpina s’en va et les employes?

Le mouvement de grève de la cinquantaine d’employés de panalpina( société spécialisée dans le transport aérien et maritime) se poursuit. Les négociations entamées depuis le mois d’avril, lors de l’annonce de la cessation des activités de cette entreprise, ne laisse présager rien de bon. Les employés espèrent toujours une meilleure offre de séparation que celle proposée par leur employeur. panapilna

La situation de conjoncture que traverse le pays  continue de frapper dans la capitale économique. La société panalpina est à son tour entrain de mettre la clé sous le paillasson. Die schulen seien auf hilfe www.ghostwritinghilfe.com von außen angewiesen beratungsstellen, jugendgerichtsbarkeit und die polizei; De par cette situation, les travailleurs de ladite entreprise ont entamé des négociations avec leur administration, pour une cessation d’activité plus structuré. Mais ce qui ne semblait pas être du goût de la direction générale qui avait par ailleurs brandi une menace de licenciement économique dans la cas où sa proposition n’était pas acceptée. Soit 2 mois de salaire en bonus. Un renversement de situation aurait emmené cette direction générale a revoir à la hausse sa proposition. Soit 6 mois de salaire en bonus avec les droits légaux. Or les travailleurs durcissent leur mouvement, jugeant insuffisant cette nouvelle offre de leur employeur. Ils réclament ainsi 15 millions au lieu des 4 millions mis sur la table par leur direction, selon notre confrere l’aube. La grande valse des négociations c’est donc installée. Les employés de cette struture disent ne pouvoir négocier en dessous des 10 mois de salaire inscrit sur le cahier des charges. Qu’adviendra t- il des employes, d’autant plus que panalpina Gabon ait déjà transféré toute ses opérations  à la société Action Rapide Transit depuis la fin du mois de mars?

Le gouvernement dans ce cas ne devrait pas oublier ses priorités. Le bon sens voudrait pourtant qu’il entretienne avec la réalité une plus grande proximité. Aller à la rencontre des protagonistes, écouter, trancher et trouver des solutions convenables pour tous. Ces actions n’auront que plus de pertinence dans la politique gouvernementale. C’est aussi une autre façon de nourrir la politique du chef de l’État. Sans effet de manche, mais responsable et attentive. Affaire à suivre. Alain 1er

 

 

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