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La mairesse d’Owendo victime de médisance!

Jeanne Mbagou en charge de la municipalité de la commune d’Owendo demeure dans une détermination qui ne s’est pas émoussée au fil des ans. Et il fallait cette qualité pour mener le développement social autant qu’économique de la ville d’Owendo.

L’on sait que les actions conduites n’ont pas toujours trouvé l’assentiment de tous, comme c’est le cas récemment avec l’accusation portée par certains journaux de la place faisant état qu’elle empocherait une taxe imposée sur les billets de train.

Depuis des années la mairesse d’Owendo et son équipe doivent déjouer les  » coups fourrés « . Plutôt de s’attarder aux querelles mesquines, Jeanne Mbagou poursuit donc sa route et Owendo affiche des progrès indéniables aussi bien au niveau de l’administration que chez les populations, même si certains points reste encore à améliorer. Elle ne le cache d’ailleurs pas. Pour cela, madame le maire continue son combat. Parce-que la personne pointée du doigts n’est autre que la responsable de cette commune.

Cette situation est tout simplement le fait que beaucoup ne connaissent pas véritablement le fonctionnement de l’appareil étatique. Comme pour exemple concret, le cas des recouvrements des taxes sur les billets de train où le maire est accusé à tort par des confrères ou à raison par des politiques tenté de ravir sa place. La mairie vie des ressources propres, des taxes, des impôts locaux, les ristournes et les subventions. Aucune collectivité ne créé les taxes. C’est la loi qui y est appliquée. Notamment la loi rectificative de 2009 portant création des taxes et impôts locaux au profit des collectivités locales. Cette dernière a été promulguée par le décret 0399/ PR du 17 juillet 2009 sous l’air du président Rose Francine Rogombe imposant ainsi une taxe sur le transport des personnes et des marchandises par voie maritime, terrestre, fluviale et ferroviaire.

Encore mieux, cette loi a été soutenu par la délibération 04/09/cmw /cm/CR portant la taxation dans la commune d’Owendo en date du 18 février 2010.

Voté par l’ensemble du collège municipal, elle a force de droit et obéit à un schéma rigoureux de perception par les services compétent d’où l’existence des timbres du service de trésor sur les documents concernés.

Cette approche devrait donc mettre un terme aux accusations portées sur l’autorité municipale de la commune d’Owendo. Une bonne fois pour toute. Et loin de là l’idée de faire un parti pris.

Toutefois, il faut dire que ces derniers temps, une certaine presse gabonaise s’illustre par des dérapages caractérisés par l’usage des informations parfois erronées récupérées dans les réseaux sociaux et qui appel à la vindicte populaire de certains citoyens. Allusion souvent sans fondement, aucun élément de preuves ne venant corroborer les dénonciations portés ainsi qu’aucune restriction à publier des articles diffamatoires à l’encontre des représentants de l’autorité de l’État ou des élus locaux.

Ce n’est plus du journaliste libre de s’exprimer dans le respect des faits et des propos…

Édouard dure

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