Dans un contexte marqué par une multiplication de prises de position autour du Mouvement LE RASSEMBLEMENT DES BÂTISSEURS (LRB), le président du mouvement, Guy Bertrand Mapangou, a tenu à clarifier certains points essentiels pour préserver l’intégrité et la cohérence de cette initiative politique.
Avant tout, M. Mapangou rappelle un fait fondamental. Le Président de la Transition, Brice Clotaire Oligui Nguema, est le fondateur incontestable du Mouvement. C’est lui, depuis Minvoul jusqu’à Libreville, qui a lancé l’appel au rassemblement pour bâtir une nouvelle nation. Il en est l’initiateur, le maître d’œuvre, et aucun débat ne saurait remettre en cause cette paternité.
Au cœur de la polémique actuelle, une tentative discrète mais lourde de conséquences. La suppression de l’article défini « LE » dans l’intitulé du Mouvement. Ce qui pourrait sembler, à première vue, un détail grammatical anodin, est en réalité une atteinte directe à l’essence même du projet porté par le Chef de l’État.
« Dire LE RASSEMBLEMENT DES BÂTISSEURS, ce n’est pas un hasard linguistique. C’est affirmer l’unicité, la clarté d’une vision et la puissance d’un engagement », insiste Guy Bertrand Mapangou. À l’inverse, ôter « LE » revient à diluer cette vision, à introduire le doute, à ouvrir la voie à des interprétations divergentes qui affaiblissent le message initial.
Dans ce moment charnière de l’histoire gabonaise, chaque mot du Président Brice Clotaire Oligui Nguema revêt une importance capitale. Sa parole, affirme M. Guy Bertrand Mapangou, « est sacrée » et ne saurait être sujette à réinterprétation ou à adaptation. Modifier le nom du Mouvement revient à trahir l’esprit de son message.
Le président du LRB appelle donc solennellement tous les acteurs politiques et les citoyens à respecter scrupuleusement la dénomination originelle : LE RASSEMBLEMENT DES BÂTISSEURS. Toute autre appellation serait, selon lui, une déviation du cap fixé par le Chef de l’État.
« Il ne s’agit pas simplement de défendre une formule, mais de préserver une vision, une ambition nationale, un projet de transformation », conclut Guy Bertrand Mapangou. Et de rappeler que la fidélité à la parole présidentielle est le gage de la cohésion, de la force et de la légitimité du Mouvement auprès du peuple gabonais.
La rédaction