Les Akandais du 1er arrondissement savent se rassembler autour de leur député. La Preuve en a été faite ce 21 aoûtl, à la suite du périple de l’honorable, Jean Marie Ogandaga aux quartiers Itambiyoko, Malibe centre et Marthel.
» Bienvenue chez vous, une terre que personne ne saurait vous dénier » Propos tenus dans les trois quatiers visités. Une phrase qui résume et traduit dans un même temps l’adhésion. De par des mots, de par des actes.
Devant cette population qui manifeste un attachement sans faille, Jean Marie Ogandaga demeure fidèle à son message. Celui de son candidat. Le seul qui conduit au développement pour le plus grand nombre et pour le Gabon.
De façon pédagogique avec un language franc et parfois en langue vernaculaire, il n’a pas manqué de présenter aux populations le bilan louable du Distingué Camarade Président (DCP), Ali Bongo Ondimba au cours de ces dernières années notamment au bénéfice du 1er arrondissement d’Akanda, ce malgré son état de santé et la pandémie de la Covid 19.
Le Djadji n’est pas là pour faire le spectacle, mais entretenir le dialogue , nourrir la proximité avec sa base et expliqué le projet de société de son candidat à l’élection présidentielle, Ali Bongo Ondimba. Ainsi il a détaillé les différents axes du nouveau pacte Social et Républicain à Itambiyoko et Malibe centre.
Et quelques heures plus tard, dans la nuit, Jean Marie Ogandaga est à Marthel. Là, il réitère sa demande aux habitants de l’accompagner dans la politique prôné par le chef de l’État. C’est à sa famille qu’il s’adresse, celle là avec qui il partage le quotidien.
Pour lui, Trop de bêtises sont dites par ces tenants de l’ordre ancien qui ont si longtemps profité, et se retrouvent étrangement dans une opposition virulente autant qu’ approximative.
A chaque étape, JMO n’a pas manqué de présenter aux populations sa suppléante et les colistiers de son arrondissement figurant sur la liste des élections locales.
Une route, de l’eau potable, de l’électricité, se former , s’inventer un avenir…le candidat PDG n’a d’autre priorité que cette volonté.
Ethan De Sillon