C’est lors du conseil des ministres du vendredi 14 avril dernier que le Dr Olivier Rebienot Pellegrin a été nommé directeur général du Centre hospitalier universitaire de Libreville en remplacement du Dr Marie-Thérèse Vané Ndong-Obiang.

La tenue stricte des finances, la réorganisation des services, le soucis de transparence, l’amélioration des conditions de travail du personnel et d’accueil des usagers font partir de ses défis réussis. Le Dr Olivier Rebienot Pellegrin tient le poste de directeur général du Centre national de transfusion sanguine ( CNTS) depuis le 23 février 2018. Laquelle direction qu’il a rehaussé avec rigueur et détermination. Les résultats parlent d’eux mêmes.

L’ancien patron du CNTS est donc un habitué des dossiers complexes. Et le CHUL n’en manque pas. Des recriminations sont récurrentes. Les difficultés d’ordre structurelles, technologiques et financières sont legions.

Formé à l’Université de Bordeaux 2 où il a obtenu un doctorat d’état en pharmacie, il est également détenteur d’un diplôme d’Étude supérieure spécialisée en biologie médicale de l’université Paris 5, d’un Master en santé publique internationale et pathologies tropicale de l’université Bordeaux 2, d’un Master 2, en économie, gestion, mention administration des entreprises de l’université paris 1, panthéon Sorbone, d’un Master Bisness administration, IAE de Paris Panthéon de Sorbone, d’un General management certificate de Georges Town university, et actuellement en préparation d’un diplôme PhD en relation internationale et diplomatie.

On peut aisément dire qu’Olivier Rebienot Pellegrin manie certainement mieux la gestion d’une structure hospitalière que la rhétorique politicienne. Justement c’est détracteurs le lui reproche. Qu’à cela ne tienne, le nouveau patron du CHUL a des actions fortes à mener. Un défi à relever et une mission à accomplir. Le reste ne l’intéresse peu. Le temps des passe-droits est révolu, l »heure est à l’efficacité.

Édouard Dure