Le comité d’organisation du deuxième congrès de la paix vient de choisir son soldat. C’est l’honorable Simplice Boungoueres, qui est le porte-étendard de la province de la Ngounié.
Placé sous le thème, « Loin du poison de la division préservons la paix et soyons fiers », l’événement est une inspiration sortie du récent discours du Président de la République, Ali Bongo Ondimba devant les deux chambres du parlement.
Organisé par la CJGA, (Concertation de la Jeunesse Gabonaise), le congrès national de la jeunesse gabonaise, deuxième du genre vient ici réaffirmer la prise de conscience des jeunes face aux enjeux politiques devant lesquels survient un climat hostile souvent au pas des violences dans notre société.
Cette rencontre d’échanges, de sensibilisation interactive mobilisant les jeunes de cette partie du pays, principale cible de sensibilisation, s’est donc déportée dans la province de la Ngounié, en premier lieu à Fougamou, puis à Mimongo pour la seconde étape. Notamment au lycée Alexandre Mandoulou Mbarry de Mimongo, où les jeunes ont été édifiés les uns et les autres sur la nécessité de la retenu ou de faire preuve de tolérance dans toutes circonstances pour éviter la violence, à demeurer vigilants et de ne ménagers aucun effort pour que notre vivre-ensemble ne soit guère menacé et surtout de mettre en garde les perfides trompeurs qui prédisent l’hécatombe en les instrumentalisant via les réseaux sociaux et autres canaux pour exprimer leurs velléités…
Pour le représentant et porte-parole des jeunes secrétaire de la coopérative scolaire, Mabende Idiata Charnel élève en classe de terminale A1, la violence doit resté loin de leurs environnement, pour céder place au vivre-ensemble, à la tolérance, à l’acceptation de l’autre, à l’amour du prochain, à la « Paix et rien que la Paix ». « Je voudrais au nom de cette jeunesse vous rassurer que le message est bien passé et que que plus qu’avant, nous ne ménageront aucun effort pour bouter loin de notre département le poison de la division et cultiver davantage la paix que nous ont légué les feus Président Léon Mba, et Oumar Bongo; magnifiée mar Ali Bongo Ondimba. » a-t-il déclaré, avant d’ajouter, « À nous jeunesse de l’Ogoulou, comme moi, vous avez compris le message d’espoir de nos aînés et en bon apprenant, je vous invite à assimiler ces enseignements et toujours les mettre en pratique pour nous éloigner définitivement des divisions steriles qui retardent notre département » a-t-il insisté.
La dernière étape a été marquée par la forte implication de l’honorable Alain Simplice Boungoueres désormais « Parrain de la paix » à l’issue du deuxième congrès de la jeunesse gabonaise.
Raison pour laquelle ce cadre du Parti démocratique gabonais, natif de l’Ogooué Lolo par ailleurs élu du 2ème siège du département de l’Ogoulou, a été sollicité par l’ensemble des jeunes de son fief politique et désigné par le comité d’organisation du congrès, comme le porte-étendard des valeurs de Paix de la province.
Au terme du congrès des recommandations ont été emises. Les jeunes ont entre autre sollicité auprès des plus hautes autorités du pays, en tête desquelles, le Chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba: D’instaurer une Journée Nationale de la Paix, Faire éclater le Ministère de la Jeunesse et de Sport, et créer un Ministère de la Jeunesse, et occuper par un jeune, Organisé et multiplier des campagne de sensibilisation au sein des établissements primaires et secondaires sur la culture de la Paix, Renforcer les aptitudes de veille sur les réseaux sociaux, afin de leur permettre de maîtriser le langage et les codes pour mieux anticiper certains faits, Eduquer: Une solution indispensable pour éduquer sur les Fake News,Organisation des campagnes de sensibilisation au sein des collèges et lycées, par extension sur l’utilisation des réseaux sociaux, Insérer dans le programme scolaire une rubrique Education citoyenne, civique et politique et au sein des partis politiques, mettre un accent sur l’organisation des débats et des sensibilisations sur la démocratie, le processus électoral et le comportement citoyen pendant la période électorale, et enfin Mettre en place dans chaque province (grande ville) des mécanismes d’accompagnement économiques des jeunes, jeunes femmes dans l’agriculture et autree AGR.