Ce n’était qu’une première visite, ce samedi 17 Juin 2023 au 5ème arrondissement de la commune de Libreville dans la zone d’ Essig mais elle traduit beaucoup d’intentions. Entre Jean Claude Ivala Boussamba, émissaire de Jean Boniface Assele et les habitants de cette zone les échanges laissent augurer un bel espoir pour ces derniers. Résolument politique. Ce message franc du vice président du CLR peut porter des fruits.
Jean Boniface Assele, le président du CLR peut dormir sur ses lauriers. Pour cause Jean Claude Ivala Boussamba assume avec une parfaite maîtrise, la mission de terrain qui lui a été confiée. Discret, sans grand raffut médiatique mais avec un langage de cœur qui traduit de part et d’autre la même volonté de faire bouger les lignes dans le 5ème arrondissement de Libreville notamment à la zone Essig.
Le potentiel effectivement y est. Le CLR est l’un des plus grands parti de la majorité Républicaine et parmi les mieux structurés. L’un des points forts du CLR est la politique de son Président, qui fait dans la promotion des cadres, des jeunes et des femmes en son sein. Et aussi son sens du développement qui cadre avec la politique prônée par le chef de l’Etat, Ali Bongo Ondimba. Beaucoup de jeunes et des femmes s’intéressent donc au CLR à l’image de ces populations de la zone Essig dans le 5ème arrondissement de Libreville qui ont confirmé leur adhésion.
Pour en revenir à cette causerie, ce sont les échéances électorales générales à venir qui ont nourri l’essentiel du débat. Le problème du chômage des jeunes, l’éclairage public, les activités Génératrices de Revenu, le problème d’insécurité n’étaient pas en reste.
Dans la partie question réponse, Jean Claude Ivala Boussamba a été claire, concis, pragmatique et pédagogue. Dans ce sens 5 jeunes se sont vus enregistrés pour se faire inscrire aux cours de conduite. De la parole à l’acte, il serait étonnant que le message du vice president du CLR ne trouve pas d’oreille attentive. C’est dans ces moments que l’on reconnaît la politique vraie. L’époque n’est plus à l’immobilité.
Jean 1er
