Le département de Droit et celui des Sciences économiques et sociales ont débuté les cours depuis déjà trois semaines pour le premier degré et pour le compte de l’année académique 2020-2021.
Selon des sources proches, le département de Droit et celui des Sciences économiques auraient débuté les cours au compte de l’année académique 2020-2021. Sachant que les résultats de l’année 2019-2020 n’ont pas encore été rendus publics, la Faculté aurait tout simplement décidé d’ouvrir les valves pour cette année. En d’autres termes la faculté des Sciences économiques et Droit n’a pas encore terminé avec l’année académique précédente.
Une situation plutôt délicate pour les étudiants de licence 1 de l’année 2019-2020, qui ne savent pas s’ils doivent eux aussi être en classe ensemble que les nouveaux bacheliers de la session 2019-2020. Faut-il attendre que les cours débutent en licence 2 ou, commencer à suivre les cours en licence 1, en attendant que les résultats soient publiés afin de statuer, sur l’admission ou le redoublement des uns et des autres ?
À une certaine époque, la carte d’étudiant était le pass d’entrée en amphi (classe), tout comme le pass-vaccinal exigé en cette période de Covid-19. Or, aujourd’hui, c’est plutôt champ libre. Avec ou sans carte, les étudiants sont admis en classe, la preuve c’est que, les départements de Droit et celui des Sciences économiques et sociales ont débuté les cours sans que les étudiants aient besoin de montrer une carte d’étudiant, puis qu’ils n’en ont pas jusqu’à présents mis à part les anciens.
L’UOB, une université égale à elle-même. Les facultés n’ont pas le même calendrier scolaire, les résultats sortent toujours en retard, les enseignants grèvent, le personnel administratif fait de même, les étudiants n’en parlons pas, autant de tracasseries dans cette université spéciale.
Et comme si cela ne suffisait pas, les promesses interminables tenues à l’endroit de L’UOB, qui jamais ne sont réalisées, les effectifs qui ne cessent de croître sous le regard imperturbable des autorités.
MAKazhaï