Il a été marqué par la réfection du parc et du monument au carrefour de l’ancien hôpital Jeanne Eborie.
Récurage des bassins à eau, entretien d’espace vert, peinture ect. Le samedi 21 décembre dernier l’équipe de l’inspection générale municipale a respecté son rituel du week-end municipal. C’est le parc et le monument du carrefour hôpital mère et enfant de Jeanne Eborie qui a été embelli et lustré par l’équipe d’Armand Dagraca. Une action qui cadre également avec l’embellissement de la ville pour la période des fêtes de fin d’année.
Sur les lieux, un triste constat a été relevé. 8 mois à peine que cette zone prisée par des nouveaux mariés afin d’immortaliser leur événement, on y a trouvé des détritus de toutes sortes, qui ternissent la splendeur et le rayonnement du lieu.
L’occasion aura donc permis à l’inspecteur général municipal, Armand Dagraca d’exhorter les populations à se réapproprier les valeurs de propreté, d’hygiène et de civisme qui tendent à disparaître dans certaines des habitudes des librevillois.
Le même constat a également été fait le dimanche par l’autorité municipale de la ville de Libreville, Léandre Nzue en visite des espaces embellis. Des actes de vandales ici et là, de l’incivisme notoire. Pour lui , il n’est plus question de laisser faire. Il y’a trop de perte en terme d’argent et d’énergie. Le temps est venu de sévir les contrevenants. Une personne averti en vaut deux.
Ce samedi, il fallait donc à l’inspecteur général municipal et son équipe à confirmer pèles en mains , râteaux, brosses, rouleaux à peinture. A chacun de mettre la main à la patte. Bien sûre c’est au courage, à la détermination et à la volonté de faire de Libreville une ville belle et attrayante selon les orientations du maire de Libreville qu’Armand Dagraca ne baisse pas les bras. Et même qu’il est obligé de revenir sur ce qui a déjà été fait, suite aux actes d’incivisme de certains concitoyens. En homme d’actions , il est conscient que le bureau c’est bien , mais qu’il faut être sur le terrain pour l’aboutissement d’un projet. Et si les responsables d’administrations faisaient de même.
Jean 1er