5 jours durant, des jeunes participantes entre 18 ans et 26 ans de 9 pays ( Égypte, Maroc, Tunisie, Rwanda, Sénégal, Guinée, Congo, Cote d’Ivoire et le Gabon) ont bénéficié d’une formation et d’un atelier sur les dernière technologies liées au numérique. Résultats du concours rendus ce 16 mai.
Initiative porté par le ministre Égyptien de la jeunesse et des sports, appuyé par l’organisation internationale de la francophonie ( OIF), en partenariat avec le programme des nations unis pour le développement ( PNUD) et Microsoft, le concours Africa code Hackathon vise à renforcer les compétences des jeunes femmes pour qu’elles soient apte de résoudre des problèmes de leur société grâce à la maîtrise des outils technologiques.
Efficacité maximale, les étudiantes ont directement été mise en situation. Avec l’appui des experts, elles ont appris a créer des solutions numériques liées aux objectifs du développement durable.
Cette année on a retrouvé en finale, la côte d’Ivoire et le Gabon. Sur l’estrade au deuxième podium, Tamaran Moutotekema Boussamba de l’Institut supérieure de technologie (IST) et Marlyse Hangamalongo Mapaya de l’Institut africain d’informatique ( IAI) honoraient le Gabon au travers une solution de conseils et de suivit des productions vivrières appelé » Wagui « . Projet qui leur a permis de remporter la deuxième place du concours.
Africa Code Hackathon opère ainsi un véritable changement entre l’école et la vie active. Il permet aux différentes étudiantes de mettre en commun leur passion et leur connaissance. Et surtout d’appréhender les clés de fonctionnement optimale de l’entrepreneuriat.
C’est donc dire que grâce à cet apprentissage, ces jeunes filles pourront être de réelles actrices du développement durable chacune dans son pays d’origine.
Jean 1er