Ce dimanche 14 mai 2017, François Hollande a cédé sa place à Emmanuel Macron en tant que président de la république française. La cérémonie de passation du pouvoir s’est déroulée dans le palais de l’Élysée en présence d’un parterre d’invités et de la famille du nouveau homme fort de la France.
Il est des signes qui parlent d’eux même. Et des actes qui se passent de long discours. Au palais de l’Élysée, on se croirait revenu aux grandes époques. Si après une poignée de main entre le président entrant et le sortant, et que les deux hommes se soient retrouvés enfermés pendant près d’une heure dans le bureau présidentiel pour l’entretien traditionnel, il n’en demeure pas moins qu’il subsiste un mélange de complicité et de distance agrémenté de solennité, entre eux.
Les différents cérémonial achevé, le président Macron pose le ton. Dans son discours, il promet de rendre aux français leurs » confiance » en eux et met ses pas dans ceux de ses prédécesseurs en évoquant chacun d’eux. << la certitude intime que nous pouvons ensemble écrire une des plus belle page de notre histoire que portera mon action>>, promet- il.
Si la fête fût belle , il va falloir très vite se mettre au travail, d’autant plus que l’enjeu est double. Mettre en œuvre le projet de société par lequel il a été élu et mener son mouvement politique à la majorité de l’Assemblée nationales. Désormais, le cap est dicté. Il revient donc aux militants de la » république en marche » d’essaimer au travers la France pour convaincre le plus grand nombre à rallier leur cause en vue des législatives à venir.
Nathan Moore