Le député du siège unique du 2 ème arrondissement de Moanda met ainsi un terme aux supputations sur la question de la vacance du pouvoir ou l’indisponibilité du chef de l’État a diriger le pays.c’était aucours d’un dejeuner de presse le week end dernier.
C’est peu dire que l’atmosphère décontracté était au rendez-vous dans ce restaurant de la place pour cet exercice de question réponse avec les professionnel de médias. Pour un peu on se croirait être aux grandes époques avec ce cadre habillé de tableaux peint et plein de sens.
Manifestement Alexandre Awassi a voulu marquer la différence. Il se devait d’envoyer un mutisme à ces opposants qui réclament une supposée vacance du pouvoir au sommet de l’État. Oui selon l’article 8 de la constitution relatif aux missions du président de la république, Ali Bongo Ondimba continue de veiller au respect de la constitution, il assure le fonctionnement des pouvoirs publics ainsi que la continuité de notre pays. Non à la propagation des mensonges sur la supposée mort du chef de l’État ou qu’il aurait fait jouer son rôle à un sosie.
Pour le député du 2 ème arrondissement de Moanda, » ce n’est pas en essayant de diminuer les fondamentaux de la république que l’on peut personnellement espérer bénéficier d’une croissance politique, administrative ou en affaires. Ce n’est pas en essayant d’instrumentaliser la jeunesse que vous préparer leur avenir… Ne faites donc pas d’elle des immuables casseurs » .
Il serait vain en effet de construire le pays sans impliquer les jeunes a l’utile, de leurs proposer des pistes innovantes des solutions adéquates. Aujourd’hui, plusieurs l’ont bien compris. Et l’honorable Alexandre Awassi a profité pour la circonstance à inviter ceux qui hésitent encore à rejoindre les rangs de ceux qui oeuvrent pour la construction du Gabon.
Toutefois, l’élu du deuxième arrondissement de Moanda a tenu a rappelé que le chef de l’État était malade et qu’il se remettait rapidement de cette dure épreuve. Et de témoigner son soutien indéfectible à l’autorité du président de la république et sa gratitude, l’amitié du Gabon en sa qualité d’élu du peuple à l’endroit du président Kagame du Rwanda, de Moussa Faki Mahamat président de la commission de l’Union Africaine, du chef d’État français Emmanuel Macron qui ne cesse de témoigner leur amitié au président de la république.
Sans prétention aucune selon une observation du système judiciaire gabonais, la responsabilité de la charge de la preuve incombe à l’accusateur, et donc les demandeurs de la vacance de pouvoir au sommet de l’État devraient s’atteler à fournir des preuves que vacance il y’a…
Or bien que convalescent, le pays entier a vu le chef de l’État à l’œuvre. Lors du discours à la nation, lors de la nomination du premier ministre et de la prestation du serment du gouvernement , récemment lors de son tour de ville. Faut il pas croire ce que l’on voit ? Éclairez les gabonais ! Si non, arrêtez de distraire le peuple avec cette histoire de vacance de pouvoir. Les populations attendent être édifiées sur les stratégies à mettre en oeuvre pour solutionner les problèmes auxquels elles font face au quotidien. C’est à cet exercice que le peuple attend ses hommes politiques opposition ou majorité afin d’évaluer leurs réels motivations.
Édouard Dure