Un conseil interministériel s’est tenu hier mardi autour du chef du gouvernement, Franck Emmanuel Issoze Ngondet sur deux points essentiels à l’ordre du jour. Les multiples réactions des partenaires sociaux contre les nouvelles mesures gouvernementales visant à réduire le train de vie de l’État et l’intensification de la communication d’explication gouvernementale en vue de mieux faire comprendre la nécessité des dites mesures.
Au-cours de cette réunion, le premier ministre et les membres du gouvernement présent sur le territoire national se sont mis a examiner l’impact tendancielle des récentes mesures sur les populations tout en décryptant les différentes réactions des syndicats et de certains partenaires économiques contre. Et la question de l’opération de mise des agents publics sur bon de caisse n’était pas en reste.
Pour le gouvernement, il est claire que les nouvelles mesures permettraient d’assainir les finances publiques via la réduction de la masse salariale et de biens d’autres charges de l’État.
Un sentiment non partagé par certains partenaires sociaux et responsables de partis politiques qui eux jugent ces mesures d’austérités et mortifères pour l’ensemble des gabonais. Mais surtout ils pointent du doigt les gouvernants actuel d’être à l’origine de la crise qui sévit depuis un temps dans notre pays de par la mauvaise gestion des deniers publics manifesté par des détournement massif non poursuivit justifié par l’absence de réalisation de projet et pourtant financé.
Édouard dure