Une immense ferveur et une chaleureuse ovation à l’arrivée de Brice Laccruche Alihanga dans le grand Nord
Profitant de son séjour septentrional du 4 au 5 aout, l’émissaire du chef de l’État, Brice Laccruche Alihanga s’est entretenu avec les populations du woleu Ntem. Une rencontre importante pour ces populations. L’occasion de leur confirmer la prise en compte de leurs préoccupations par le président de la république.
A Mitzic, Oyem comme à Bitam ils sont venus nombreux pour voir le messager d’Ali Bongo Ondimba et l’écouter. Une société se construit dans la reconnaissance de tous et dans la conscience des besoins mutuels.
En visite à Mitzic de même qu’à Oyem comme à Bitam, Brice Laccruche Alihanga réaffirmait certaines orientations nécessaires « Les populations doivent inéluctablement être impliquées dans le développement de leurs localités avec le soutien des pouvoirs publics «
Au féminin comme au masculin, c’est la compétence qui doit être reconnu. Il n’est plus question ici des annonces insoutenables. Mais de soucis citoyens. Et de réalité sur les faits, de responsabilité et de perspective. Et le message est claire « Dans le Woleu-Ntem, comme ailleurs au Gabon, l’action publique doit répondre aux besoins du quotidien des populations, mais aussi mettre l’accent sur le développement des infrastructures de transport, ainsi que sur la stimulation de l’activité économique, préalable aux créations d’emplois dont les jeunes du Woleu-Ntem ont besoin. Comme l’a rappelé le chef de l’État, il n’y a pas un Gabon utile et un autre qui le serait moins. C’est pourquoi les neuf provinces du pays doivent être équitablement développées. Avec un objectif majeur : l’emploi » rappel le DCPR. A chacun le choix de la profondeur du message.
La politique n’a de vertu qu’au service du grand nombre. C’est tout le sens de ce message du président de la république transmis par Brice Laccruche Alihanga son directeur de cabinet aux populations woleu Ntemoises sans mots superflus, au contact de la réalité, des hommes et des femmes sans lesquels il ne peut y avoir d’avenir.
Jean 1er