Se réclamant toujours de la majorité républicaine, le leader du mouvement qui porte son nom, Victor Missanda a donné son point de vu en qualité d’homme politique, sur les nouvelles mesures gouvernementales visant la réduction du train de vie de l’État. A cette occasion il a tenu à rassurer les populations sur le bien fondé de ces mesures certes difficile mais essentiel pour relever l’économie du pays.
<< Pour résorber la problématique de la crise économique due à l’effondrement des cours du baril de pétrole, les autorités gabonaises ont engagé un programme d’assainissement des charges publiques visant à réduire le train de vie de l’État pour la relance de l’économie et l’équilibre social. Il faudrait donc résister face aux multiples tentations qui ont pour but de naviguer à contre courant de la volonté de l’État à sortir le pays de cette crise économique qui y sévit depuis un certains nombres d’années. Là est l’essentiel du message délivré par Victor Missanda à l’endroit des populations gabonaises.
Le message est manifestement destiné à l’endroit d’un bon de compatriotes qui selon lui s’oppose à ces mesures gouvernementales tant en utilisant ces décisions nécessaire pour le pays comme arguments pour enflammer le climat social dont l’objectif est de vaincre la majorité républicaine aux futures échéances électorales.
Victor Missanda l’a compris, même du l’ancien président de l’Adere sait qu’une décote de 5, 10 ou 15% sur les salaires ou encore perdre une fonction y compris ses avantages n’est pas facile à accepter. Surtout avec la cherté jours après jour de la vie.
Dans ce sens politique, et pour tenir le moral de ses troupes aiguisées qui d’ailleurs lui ont demandé de se présenter comme candidat aux prochaines législatives dans un département de Moanda, Victor Missanda à appelé en personne averti la majorité républicaine à une concertation afin de désigner un candidat unique par siège selon un modèle bien définit dont le but est de ravir le plus grand nombre de sièges à l’Assemblée nationale dans l’intérêt du groupe de la majorité et de la mise en œuvre de la politique du chef de l’État.
Jean 1er