Le centre national de transfusion sanguine subit trop souvent les pénuries en stock sanguin. Les donneurs sont rares et certains groupes difficiles à obtenir. De plus les moyens attribués au centre sont insuffisant, les vies sont ainsi perdue.
Victimes de l’indifférence ou de croyances, alors que quelques poches de sang les auraient épargnées. Milieu de matinée, jeudi 14 juin , en ce jour marquant la célébration de la 15 ème journée mondiale du donneur de sang sous le thème » le don de sang en tant qu’acte de solidarité » , on apprend que 22000 prélèvements ont été effectué en 2017. Et essentiellement issus de 70% de donneurs familiaux et les 30% restant par des volontaires et bénévoles.
Pourtant le geste a importance capitale. Il relève de la compassion et de la pédagogie. Nos comportements doivent évoluer. On ne peut rester insensible.
Depuis sa nomination à la tête du centre, le docteur Olivier Rebienot Pellegrin a une réelle volonté d’accompagner la structure dans son assistance humanitaire. Le centre traversait une mauvaise passe et le directeur général, Olivier Rebienot Pellegrin a largement contribué au des missions. En baissant considérablement les charges sociales, en initiant une collecte de poche de sang de proximité, en multipliant les partenariat et bien d’autres….
Sauf que le patron du centre déplore la mauvaise conservation des poches de sang prescrites dans plusieurs structures sanitaires. << Bon nombre de poche de sang prescrites dans nos formations sanitaires, sont à plus de 20 % détruites faute de conservation dans les conditions prévues par les directions nationales sur l’usage rationnel des produits sanguins labile en pratique clinique. Bous déplorons également qu’aujourd’hui encore les patients ou leurs parents doivent réaliser en lieu et place des structures demandeuses, le transfert des produits sanguins labiles. Ce en profonde contradiction avec les directives nationales portant sur le circuit transfusionnel>> a t- il exprimé.
Le don de sang est un don de vie que les populations n’attendent donc pas être dans le besoin pour accomplir ce geste et que l’État, garant des populations mette d’avantage les mains dans la poche pour garantir une sécurité Maximale du sang transfusé, les partenaires tout autant en faveur de cette structure responsable, citoyenne et vitale.
Jean 1 er