La tenue stricte des finances,  la réorganisation des départements,  le soucis d’échanger avec les étudiants se font souvent dans la discrétion. Jean Christophe Moudjigui a été promu au poste de directeur général de  l’école normale supérieure de l’enseignement technique (ENSET) lors du conseil des ministres du 26 février dernier. Il est plus intéressant de le suivre dans son univers.

Cet ancien  Secrétaire général du ministère  de l’insertion professionnelle est  professeur d’école normal dans le département génie mécanique option maintenance véhicule. Il est détenteur d’un professorat de collège enseignement technique et professeur de lycée technique. En France il obtient un professorat d’école normal. Son profil cadre bien avec cette nomination.  Monsieur le directeur général à du travail et des actions fortes à  mener.

Il ambitionne que l’ENSET soit une vitrine technologique. Et que  les problèmes  de l’industrie puissent trouver des solutions dans cet établissement. D’où la nécessité pour lui de mettre en place un laboratoire afin de permettre la recherche dans le secteur industriel.

On l’a toujours décrit comme un Technocrate, le DG de l’ENSET Offre au final un tout autre visage. Ce jeune quinquagénaire n’oublie jamais ses responsabilités sociales et l’engagement nécessaire de son équipe  » A l’ENSET  on vient pour apprendre. Et nous comptons offrir un enseignement de qualité. Je demande donc à tous, étudiants comme professeurs de m’accompagner. Pour qu’ensemble on réussissent le programme pour lequel j’ai été choisi »

Des programmes à l’image de la vision du chef de l’État…. Et qui définit la démarche pouvant amener cet établissement à  répondre correctement à ses missions. Avec des programmes adaptés  aux systèmes de formation des enseignants de l’éducation nationale.  Des Possibilité de recyclage à  travers des partenaires. Échange d’enseignant, Échange d’étudiants tout autant ….Comme il l’avait évoqué lors de sa prise de fonction, « Nous allons, à partir de ce contrat, redéfinir une qualification sur trois ans. Nous avons reçu du ministre d’État les précisions sur l’élaboration des axes à développer sur ces contrats. »,

Le socle est posé. L’heure est désormais à l’efficacité.

Jean 1er