Entre le secrétaire général du ministère de l’éducation national et les enseignants aucun nuage à l’horizon. Depuis sa prise de fonction au sein de ce ministère, Thierry Abeloko est responsable leader. Les problèmes de ses agents sont au centre de ses préoccupations.
Trouver le juste accord, entre la politique gouvernementale et les fonctionnaires enseignants, un partenariat social équilibré.
Depuis le début des nouvelles mesures gouvernementales, le secrétaire général de l’éducation national joue cette carte. Qu’il s’agisse de la mise sous bons de caisse, de la fiche de pointage comme des agents introduit aux contentieux, il est à l’écoute et à la recherche des solutions urgentes aussi bien bénéfique pour les agents que pour l’État.
En début du mois d’août, les fonctionnaires étaient invités à prendre part à un émargement quotidien pour lutter contre les agents publics fantômes. Une semaine plus tard Thierry Abeleko saisissait la tutelle et le ministre de la fonction publique sur la spécificité de l’agent enseignant dont les vacances correspondent à celles des apprenants.
Cette intervention aura permis le report du pointage des enseignants pour la rentrée prochaine. Une résolution qui réjouit la majorité de ces agents dont plusieurs étaient déjà en vacance au Gabon profond.
Ce dernier a donc su générer un environnement de travail propice. Stratégie commune et bénéfice partagés. C’est cette connaissance approfondie du système éducatif qui permettra d’assurer une nouvelle année scolaire paisible, d’autant plus que les griefs récurent des agents publics sur la non prise en compte des nouvelles affectations, de la mise au contentieux et la fiche de pointage sans spécificité selon le ministère menaçait directement la rentrée des classes prévue dans quelques mois.
Aucun doute que le secrétaire général de l’éducation national aura d’avantage d’oreilles attentives autant chez le politique que chez les fonctionnaires enseignants ou encore chez les syndicalistes…
Jean1er