Aucune place pour le doute. Pierre Alain Mouguengui est convaincu de mener à bien la fédération gabonaise de football ( fegafoot). Pour le président de la fegafoot, satisfaction pour les travaux du congres du 1er juin dernier , bonne dose de fierté au terme de l’interrogatoire de l’équipe féminine après leur séjour à Marseille en plus de cette certitude de la bonne gestion de la subvention allouée à la fegafoot par la FIFA.
Depuis quelques temps on attendait la réaction du président de la fegfoot face aux rumeurs gênantes du staff technique de retour de Marseille avec l’équipe féminine. Le 10 juin dernier , il est finalement sortie de sa réserve par le biais d’une conférence de presse, juste après le remaniement ministériel.
Au foot on cultive avec joie ce jeu de questions réponses avec les journalistes. Qu’il s’agisse d’un après match ou de la présentation d’un joueur ou d’un coach ou bien même pour éclairer l’opinion lors d’une affaire qui a éclaboussé le sport roi.
Pour commencer, Pierre Alain Mouguengui est revenu sur la tenue du dernier congres extraordinaire. Qui était une sorte de compte rendu des activités du comité exécutif aux congressistes. Des activités qui ont été marqué essentiellement par l’organisation du championnat des 17 ans, des 15 ans et celui de l’équipe féminine. Bien sûre agréé et financé par la FIFA.
Pierre Alain Mouguengui a également abordé la problématique de la rumeur faisant état harcèlement, d’attouchement ou de viole des joueurs de l’équipe féminine à Marseille. Selon lui après audition des filles au B2 en présence de leurs parents aucune d’entre elles n’a reconnu les faits sauf être victime d’une sorte de maltraitance que le président fédéral justifie comme norme de surveillance à l’endroit de l’équipe. Aussi pour le patron de la fegafoot cette affaire d’atteinte aux bonnes mœurs était une machination orchestré par une main noire déjà identifié. Et de dire que les auteurs répondront de leurs actes devant la justice gabonaise et française.
Sur la question de la gestion des fonds de la FIFA, Pierre Alain Mouguengui a été claire. » C’est à la FIFA seule à qui la fegafoot rend compte. L’institution internationale a ses mécanismes pour contrôler les 500 millions alloués en deux semestre pour le fonctionnement et l’investissement de la fédération gabonaise. »
La question que les amoureux du foot tiennent, c’est la capacité de la fegafoot à porter haut le foot gabonais dans les rencontres internationales. Avec l’arrivée du nouveau coach , les schémas de jeu seront ils désormais au niveau voulu ? Mais le temps n’est plus à se poser des questions. Objectifs demandés , mettre les bouchées double pour que le foot gabonais connaisse des jours meilleurs. Et la manne versée par l’État aux entraineurs et celle pour la prise en charge de l’équipage lors des rencontre à l’extérieur sous la supervision de la fegafoot impose pour le moins de l’efficacité.
Jean 1er