Sacré challenge pour Alain Claude Bilie Bi Nze . Mais il n’est jamais trop tard pour bien faire. Dans ce département ministériel à polémique, la pression est maximale. Et tous les regards sont braqués sur lui. Ce 14 mai, une réunion pour sauver les meubles du championnat national a été tenu entre le ministre d’État de tutelle, Alain Claude Bilie Bi Nze, son délégué, laeticia Diwekou, le président de la fédération gabonaise de football ( Fegafoot), Pierre Alain Mouguengui et le président de la Linaf, Brice djambo. Le foot gabonais au présent comme au passé, mêmes incertitudes, mêmes envies de rêver.
L’histoire est ainsi faite. Avec ses joies, ses inattendus, des tristesses profondes, des coups de colères, mais surtout l’envie d’aller plus loin. Et aucune place pour le doute. Alain Claude Bilie Bi Nze est convaincu de mener à bon port son navire. Pour le ministre d’État, ministre des sports il faut une formule pour terminer le championnat national et désigner les équipes qui vont représenter le pays aux différents tournois de la CAF. La FIFA est stricte, toutes les compétitions doivent cesser au plus tard le 20 mai. Pour faire la place à la coupe du monde du 14 juin au 15 juillet.
La linaf propose donc une formule de play off, qu’il faudrait formaliser, rédiger le règlement intérieur. Et le faire parvenir à la tutelle, au gouvernement pour entériné les moyens qui vont avec.
Le temps est compté, à l’équipage de faire son boulot et au patron des sports à tenir le cap.
Édouard dure