Gabon : Les habitants de la Louétsi-Wano en rage en raison d’affreuses conditions de vie

Les habitants de la localité de Makongonio dans le district de la Louétsi-Wano révèlent depuis plusieurs jours à défaut des flux d’attitudes, les lamentables conditions dans lesquelles ils visent depuis plusieurs années. Manque de voiries, crise, absence de fondation, abus et bien d’autres maux seraient les entraves à leur bonheur.

L’épouvantable état de la ligne routière Mbigou-Lebamba, la non prise en charge des habitants dans les ateliers exploités dans leur contrée, le manque d’aide communautaire de base, l’absence de construction hygiénique adapté, voici entre autre ce qui énervent ces habitants qui se disent être des laissés pour compte. << Nous sommes les autochtones ici, la forêt nous l’avons hérité de nos parents, mais ceux qui l’exploitent se comportent comme des voleurs de poules. Ils viennent et repartent à la va-vite >> à dit un notable, très furieux.
<< Quand la route se dégrade on fait comment ? Lorsque nous tombons malade notre solution c’est l’hôpital, maintenant que les grumiers détruisent ce qui nous sert de route, comment allons nous faire pour nous rendre dans les hôpitaux nous faire soigner ? Les exploitants forestiers ne se soucient même pas d’arranger ces routes qu’ils empruntent chaque jour>> a poursuivi le vieux notable.

La jeunesse de ce coin, n’est pas en reste. Curieux pour la majorité de vivre dans leur commune respective, ils demandent du travail, et imposent que les usines ébauchées dans leur canton les engagent. <<Comment pouvez-vous comprendre qu’il y ait autant de sociétés d’exploitations dans notre village, et que les jeunes du coin soient mis à l’écart ? A l’heure où on parle d’exode rurale, on se demande qu’est-ce qui ne va pas chez nous>>, a dit pour sa part un jeune agacé.
Le problème approximatif à la délocalisation commandée par certaines personnalités politique prend son sens. Les habitants de Makongonio croient qu’avec l’installation de ces constructions chez eux, et de la bonne intention, tout pourrait aller mieux. Reste aussi aux services collectifs d’ajouter la main à la patte pour concourir au développement du village.

Ruth

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