Trois jours pour les travaux de la semaine de la décennie internationale des personnes d’ascendance africaine (2015-2025) à Libreville. Du 17 au 19 mai , rencontre culturelle, découverte et réflexion sur le rôle de l’Afrique bantu et que sa descendance doit jouer sur la construction d’un monde meilleur. Ce 17 mai, ouverture des assises sur le thème » Afrique, ma terre première « . Une première du genre dans le monde.
Plusieurs personnes ont pris part à cette rencontre, entre politiques , organismes internationaux et société civile d’une part et techniciens, praticiens, experts, essayistes et universitaires de ce domaine de recherche de l’autre. Trois jours durant, les scientifiques vont débattre sur la traite négrière, la déportation, l’esclavage, l’incubation créole, les retrouvailles Afrique- Amérique, le panafricanisme et sur l’Afrique proprement dit. Vastes sujets qui posent la problématique du passé, du présent et de l’avenir des personnes d’ascendance africaine. Festif et académique, ces journées devraient permettre de réfléchir sur les moyens de mieux panser les blessures que le traité transatlantique a engendré. Mr. Emmanuel Issozet Ngondet, premier ministre, chef du gouvernement a tenu à rappeler que << ces assises donnent l’occasion, en l’espace de quelques heures à des personnes dont les ancêtres communs avaient été brutalement séparés , de reconstituer ces identités jadis éparpillées au gré d’une histoire hélas bien souvent douloureuse >> Et que le Gabon au travers de cette rencontre << entend accomplir sa part du devoir de mémoire et de solidarité en faveur de toutes les victimes du déni de l’humanité>> a t- il déclaré. Organisé par le ministère de la culture et le centre de civilisation bantu ( CiCiBa), cette rencontre de Libreville a également été l’occasion pour le Gabon de tracer la voie, aux États membres afin qu’ils prennent des mesures concrètes et pratiques pour l’adoption et l’application du cadre juridique et politique ainsi que pour la mise en oeuvre des programmes nationaux et internationaux en vue de lutter contre le racisme, la discrimination, la xénophobie et l’intolérance des personnes d’ascendance africaine. We 100% my type on paper think some of our tips might help you when editing your manuscript. Depuis 2015, le ton est donné aujourd’hui. On peut donc dire que cette fois, la voie se précise. L’histoire se reconstruit. Nathan Moore.