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Journee internationale des musees 2017: Musees et histoires douloureuses!

Cette journée des musées aura été célébré sur un ton pluriel. Acquisition, conservation, étude, exposition et transmission du patrimoine matériel et immatériel des traditions humaine et de son environnement. Ce 18 mai, l’histoire fut en phase avec notre quotidien en entretenant le dialogue entre le passé, le présent et le future.

masque musée

Notre société aussi moderne soit- elle souffre du silence et de l’exclusion de nos rites et de nos traditions. Parce-qu’avec l’arrivée des cultures occidentales nous avons perdu nos valeurs, notre identité, et nos origines de même. Le ministre d’État en charge de la culture, Alain Claude Bilie By nze qu’accompagnaient  son ministre délégué, Olivier Koumba Mboumba et le représentant résident de l’UNESCO au Gabon, Vincenzo Fazzino, a posé une problématique. << Comment nous approprier cette institution occidentale qu’est le musée, pour y injecter nos valeurs et y puiser au travers ce qui va nous aider demain à refonder nos identités ?>> s’est- il interrogé. Avant d’affirmer << nous allons mettre en place dans quelques temps, bien sure sous l’impulsion du chef de l’État, un conseil des rites et des traditions pour refonder notre identité >>. Profitant de cette occasion le ministre d’État a émis la volonté du gouvernement à réhabiliter le musée national et celle de créer dans les mois prochain deux musée. Le premier substitué au musée national mais en qualité de musée de rites et de traditions, le second lui sera le musée de l’histoire.

Cette année une fenêtre des journées des musées s’est ouverte sous le thème  » Musées et histoires douloureuses : dire l’indicible dans les musées « . A l’estrade, le directeur général du musée national, Davy Willis Koumba Ovenga a apporté un éclairage sur cette thématique, << ce thème met en lumière le rôle des musées qui en se mettant au service de la société peuvent devenir des centres de pacification des relations entre peuples… sous le signe de la réconciliation>> a t- il dit.

Une torche indigène allumé dans le bandja et un public adultes pas connaisseurs mais curieux de leur culture, ainsiqu’un public d’élèves. La journée du musée à Libreville a donc permis de jeter l’ancre traditionnel en milieu scolaire et moderne. Éveiller le regard, nourrir l’envie des rites et des traditions, vivre l’histoire de nos ancêtres au réel… C’est autant pédagogique qu’essentiel.

La direction

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