Conscient du travail à poursuivre, le candidat du PDG aux législatives dans cette circonscription est venu à Itambiyoko, kouboukoubou et Ivinda dire son attachement au plus près de la réalité.

Il n’y a pas de sous quartier. Il y’a un quartier. Il n’ya pas d’ethnies de second plan. Il y’a le citoyen. Itambiyoko, Kouboukoubou, Ivinda…Autant de quartiers qui écoutent ce simple message par lequelle se nourrit la politique vraie. Et les habitants ici le savent.

Depuis des années le membre du bureau politique impulse une dynamique différente. Des jeunes ont accédé aux écoles aux carrières administratives. La mise en place des zones d’utilité villageoise ( ZUV), afin de permettre aux populations de poursuivre les plantation en toute quiétude dans les aires protégés.

Les faits sont là, la dynamique est enclenchée. Certes le chantier n’est pas achevé, comme le rappelait cette dame à Itambiyoko, des actions ont été mené dans d’autres quartiers alors qu’Itambiyoko ne soit pas l’enfant oublié.

Des efforts restent à faire et Jean Marie Ogandaga a rassuré que sa volonté pour le développement du premier arrondissement ne peut se relâcher. Toutes les routes doivent être profilées et rechargées, le marché renforcé, la précarité ne plus exister. Mais il faut du temps. Et d’une certaine façon, il est venu demander à ces populations cette lassitude d’agir. Les seules à pouvoir décider.

La dernière ligne droite est amorcée, et il y’a fort à parier que les arguments fallacieux feront rire. Libre à ceux là de se couvrir de ridicule. Les populations kota, Akele, kwele, Nzebi l’ont déjà compris. L’avenir du premier arrondissement de la commune d’Akanda a besoin d’un fils du terroir, plein de vertu et de courage. Et Jean Marie Ogandaga n’en manque pas.

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