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L’association train d’union s’insurge contre les mauvaises interprétations sur la santé du chef de l’état, Ali Bongo Ondimba!

Train d’union de par son président, Fred Bernard Mavougou met en garde les dérives des réseaux sociaux concernant l’État de santé du président, Ali Bongo Ondimba. Et rappel qu’au Gabon comme en Afrique cela représente un réel danger.

L’époque n’est pas à la rancœur ou à l’indifférence. Mais un constat pour le moins alarmant. Les réseaux sociaux drainent des informations erronées. Portant des atteintes graves à l’endroit des personnes bien ciblées. Dans un local, au troisième arrondissement de port gentil, le mouvement associatif train d’union s’est réuni. Depuis l’hospitalisation du chef de l’État à Ryade, capitale de d’Arabie Saoudite,  ils n’ont sans cesse porté leur soutien à la mère du président, Patience Dabany, par ailleurs marraine de l’association. Et d’organiser des temps de méditations et de prières pour le rétablissement rapide du président de la république, Ali Bongo Ondimba.

Sur le mur des affiches où on peut lire. << monsieur le président train d’union est de tout cœur avec vous>> , << notre presi revient nous vite pour poursuivre la transformation en vue du développement du pays>>,

<< notre président n’est crainte Dieu est au contrôle>>…

Depuis sa création, train d’union ne cache pas son engagement en soutien à la politique du chef de l’État. Mais ici, le propos est humain plus que politique. En vue du rétablissement de leur champion sa sa meilleure forme. D’où leur appel citoyen à prier pour le chef de l’exécutif. Une positive attitude, le comportement relève de la foie chrétienne.

Enfin, train d’union souhaite des pouvoirs publics de trouver un mécanisme pour réguler si possible les messages et vidéos sur les réseaux sociaux dans notre pays. Et de rappeler que le Gabon a signé la charte des droits de l’homme. Cela implique les droits comme les devoirs. Le non respect de la vie privée, la diffamation, les supputations… Sont passibles à des peines de prison. Donc attention danger…

Édouard dure

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